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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 10:35

SAINT JEROME

De son nom de naissance, Eusebius Sophronius Hieronymus, Jérôme est né en 347 à Stridon (actuelle Croatie). 

A l’âge de 12 ans, son père l’envoi à Rome afin de poursuivre ses études.
À la demande du pape, Jérôme se lance dans la rédaction d'une bible en latin. Il consacrera plus de 40 ans de sa vie à cette œuvre. Il aboutira à une oeuvre intégrale, débarrassée de fautes et d'erreurs, connue sous le nom de Vulgate.

Il reprend à Bethléem ses travaux de traduction. Connaissant un peu d'hébreu, il parfait sa connaissance de la langue et améliore son approche de la technique juive du commentaire scripturaire. Cette étude le conduit à utiliser l'hébreu, ainsi que des traditions rabbiniques, afin de pouvoir mieux comprendre certains passages de la Bible. Notons ici, qu’à cette époque, c’est une nouveauté dans le christianisme qui n'utilise dans les études exégétiques que la version grecque de la Bible, la Septante.

Considéré comme un des Pères de l'Église catholique, il est fait docteur de l'Église en 1298, par Boniface VIII.

Jérôme est le saint patron des traducteurs en raison de sa révision critique du texte de la Bible en latin.

 

BAUDELAIRE

Une facette peut-être moins connue de l’oeuvre de l’auteur des Fleurs du mal: Baudelaire traducteur d’Edgar Allan Poe.
les traductions en français de Baudelaire ont permis une large diffusion de l’oeuvre de Poe (celle-ci commençait tout juste à être connue), tandis que le poète, dont les problèmes financiers sont bien connus, y a trouvé là une source d’inspiration mais aussi, de façon plus pragmatique, de financement. C’est ainsi que Baudelaire traduira, durant une quinzaine d’années:

- Trois volumes de contes: Histoires extraordinaires, Nouvelles histoires extraordinaires et Histoires grotesques et sérieuses;

- Un roman: Aventures d’Arthur Gordon Pym;

- Un essai: Eurêka.

Baudelaire dira plus tard “La première fois que j’ai ouvert un livre de lui, j’ai vu, avec épouvante et ravissement, non seulement des sujets rêvés par moi, mais des phrases pensées par moi, et écrites par lui vingt ans auparavant.”

 

 

JEAN-FRANCOIS MENARD 

dit peut-être rien, mais vous avez sûrement goûté à sa plume. Jean-François Ménard est l'un des traducteurs les plus réputés de la littérature jeunesse. Artemis Fowl, Les Chroniques de Prydain, Le Passage, Le Bon Gros Géant et, bien sûr celui qui a fait son succès, Harry Potter : au total plus de 250 ouvrages sont passés entre ses mains. 

Dans une interview au journal LEPOINT, Ménard nous explique comment il s'est pris pour traduire les noms des célèvres maisons à Poudlard: "Ce vocabulaire de sorcier était assez logique à traduire. Pour Gryffindor/Gryffondor c'était facile. Pour Serdaigle, « Ravenclaw » voulait dire « serre de corbeau » et je trouvais ça moins beau, j'ai donc changé pour un aigle. Cela tombait bien, car c'est le symbole de la maison. Pour Poufsouffle, c'était un peu différent : le nom « Hufflepuff » est un jeu de mots avec le grand méchant loup qui souffle sur la maison des trois petits cochons. J'aimais bien cette allitération « to huff » and « to puff » qui me faisait penser à paf/pouf. Dans le roman, les élèves de cette maison donnent l'impression d'être toujours un peu essoufflés. C'est ce que j'ai gardé comme idée dans ma traduction. « Slytherin » veut dire « serpenter » je l'ai donc transformé en Serpentard. Pour être honnête, je me suis bien amusé à inventer des nouvelles choses. Cela venait assez vite, car je me suis imprégné très rapidement et tout est devenu familier"

 

 

SYLVER MONOD

 

Sylvère Monod, né le 9 octobre 1921 à Cannes et mort à Paris le 8 août 2006, est un traducteur, essayiste et universitaire français, grand spécialiste de littérature anglaise.

 

Après une scolarité aux lycées Montaigne et Louis-le-Grand à Paris, Sylvère Monod étudie de 1939 à 1943 à l’Université de Paris. Reçu premier à l'agrégation d'anglais, il obtient son doctorat en 1952 avec une thèse consacrée à Charles Dickens.

 

Ses traductions des œuvres de Charlotte Brontë, Joseph Conrad, Charles Dickens, Walter Scott et William Shakespeare font autorité et sont généralement assorties d'une préface fournie et d'un appareil de notes très étoffé.

 

Il est ainsi l'auteur de nombreuses préfaces et postfaces.

 

 

 

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10 novembre 2017 5 10 /11 /novembre /2017 10:28

Les traductions sont incontournables dans un monde qui compte plus de 3000 langues.

Le commerce international, les relations diplomatiques, les programmes éducatifs, les voyages parmi d'autres activités comme les loisirs, de même que les livres ou les films, les modes d'emploi pour l'électroménager, les logiciels informatiques ou les instructions de montage des meubles, dépendent du travail des traducteurs - des hommes et des femmes qui, bien souvent dans l'ombre, essaient de transposer des idées et des informations d'une langue vers une autre.
C'est une tâche difficile et qui nécessite de faire passer une information en franchissant la barrière de la langue ; une langue vivante, qui évolue tous les jours.

LES PIÈGES ET DANGERS

Les pièges qu'un traducteur doit déjouer sont nombreux. La connaissance de deux langues ou plus ne suffit pas pour faire une bonne traduction.
Un travail de qualité exige une connaissance vaste et approfondie d'un domaine particulier.

Rien que l'utilisation du langage offre de nombreuses occasions de se " casser le nez ".

Un simple exemple en sont les faux-amis, bien connus de ceux qui ont appris l'anglais à l'école.

Ce sont des mots qui, par exemple, semblent presque similaires en anglais et en allemand, mais qui ont un sens totalement différent. Quand un américain fait le plein de "gas", ce n'est pas du gaz, mais de l'essence, qu'il met dans son véhicule, que les anglais appellent " petrol ".

A ne pas confondre avec le mot "Petroleum" en allemand, qui veut dire de la paraffine en anglais ; les américains eux, interprètent le mot "paraffin" comme étant de la cire.

Pour la plupart des traducteurs, connaître ces termes et ne pas se faire piéger représente encore un exercice facile.

Encore plus problématique est le fait qu'il y a rarement un mot recouvrant l'ensemble du sens d'un autre mot dans une langue étrangère - il se peut qu'il n'existe même pas dans la langue cible un mot qui s'y rapproche.

Le traducteur doit souvent faire un choix entre plusieurs mots identiques, tout en respectant le sujet, le contexte, le style et de nombreux autres facteurs. Faire les bons choix peut revêtir une grande importance. En outre on ne doit pas oublier tout ce qui peut se cacher derrière un mot.
SOURCE : http://www.haneder.biz/francais/infouebersetzen.htm

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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 10:30
Aujourd’hui, parlons technique de traduction, si vous le voulez bien. Car s’il existe différents types de traduction et différentes méthodes de traduction, il y a aussi différentes techniques de traduction.

MÉTHODES DE TRADUCTION VS TECHNIQUES DE TRADUCTION

Quelle différence y a-t-il entre une méthode et une technique de traduction? Eh bien, c’est très simple: la méthode de traduction concerne l’entier du texte à traduire, tandis que la technique de traduction variera au cas par cas à l’intérieur d’un même texte, en fonction des éléments verbaux ponctuels à traduire. La taxinomie classique des procédés de traduction remonte à l’année 1958, et c’est à J.-P. Vinay et J. Darbelnet qu’on la doit. Elle compte sept catégories:

1. L’EMPRUNT

L’emprunt est un procédé de traduction consistant à utiliser un mot ou expression du texte source dans le texte cible. L’emprunt se note généralement en italique. Il s’agit en fait de reproduire telle quelle une expression du texte original. En ce sens, c’est une technique de traduction qui ne traduit pas…

Exemple: Le gaucho portait un sombrero noir et une bombacha usée par le temps.

2. LE CALQUE

Lorsqu’un traducteur recourt au calque lexical, il crée ou utilise un néologisme dans la langue cible en adoptant la structure de la langue source.

Exemple: L’allemand handball traduit à l’espagnol balonmano, ou l’anglais skyscraper traduit en français gratte-ciel.

3. LA TRADUCTION LITTÉRALE

C’est ce qu’on appelle classiquement la traduction métaphrastique, ou métaphrase. Il s’agit d’une traduction mot-à-mot aboutissant à un texte, dans la langue cible, à la fois correct et idiomatique. Selon Vinay et Darbelnet, la traduction littérale n’est possible qu’entre langues au bénéfice d’une grande proximité culturelle. Elle n’est acceptable que si le texte traduit garde la même syntaxe, le même sens et le même style que le texte d’origine.

Exemple: Quelle heure est-il?  What time is it?

4. LA TRANSPOSITION

La transposition consiste à passer d’une catégorie grammaticale à une autre sans que pour autant le sens du texte ne change. Cette technique introduit un changement de structure grammaticale.

Exemple: The President thinks that  Selon le Président

5. LA MODULATION

La modulation consiste à faire changer la forme du texte par une modification sémantique ou de perspective.

Exemple: Tal vez tengas razón  Tu n’as peut-être pas tort.

6. EQUIVALENCE

L’équivalence est un procédé de traduction par lequel une réalité équivalente est rendue par une expression entièrement différente. Cette technique peut être utilisée pour traduire des noms d’institutions, des interjections, des expressions toutes faites ou des proverbes.

Exemple: Chat échaudé craint l’eau froide  Él que se quemó con leche ve la vaca y llora.

7. L’ADAPTATION

L’adaptation, également appelée substitution culturelle ou équivalent culturel, consiste à remplacer un élément culturel du texte original par un autre, plus adapté à la culture de la langue cible. Ceci permettra de rendre le texte plus familier et compréhensible.

Exemple: baseball  football

Depuis les années 1960, différents auteurs (Michel Ballard, Hélène Chuquet, Michel Paillard, etc.) ont signalé d’autres procédés de traduction tels que l’explicitation (on apporte des précisions dans le texte de la langue cible), la collocation (l’utilisation d’une suite de mots habituellement utilisés ensemble dans la langue cible) et la compensation (ne pas rendre une allusion ou une connotation dans une partie du texte et compenser en la faisant apparaître plus loin).

SOURCE http://culturesconnection.com/fr/7-techniques-de-traduction/

 

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20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 13:28

Un traducteur est un professionnel qui:

 

• A des connaissances sur les aspects linguistiques et grammaticales de deux langues

 

• Alimente en permanence son envie d'apprendre les techniques qui faciliteront la réalisation des traductions précises et de qualité

 

• Possède une excellente orthographe et la formulation impeccable afin que le destinataire de la traduction lise le texte comme s'il s'agissait d'un texte dans sa langue maternelle.

 

• Développe une activité de communication et d'interprétation

Être bilingue ne suffit pas pour devenir un traducteur. Au-delà de la capacité linguistique, il faut disposer d'un bagage culturel et une capacité intellectuelle et stratégique.

 

Il est important que les entreprises comprennent l'importance de la traduction dans ce sens. Par exemple, des textes provenant d'une publication française signalent que de mauvaises traductions ou les mots trop techniques des notices techniques font que les consommateurs retournent la moitié des produits.

Cela provoque un coût supplémentaire de récupération des produits retournés et l'image de qualité de la marque se détériore.

Alors que les entreprises investissent une grande partie de leurs ressources dans l'amélioration de leur image de marque, un certain nombre de «produits» sont mis de côté, mais ils ont aussi une incidence sur l'image de marque. Ces "produits" concernent entre autre, la traduction.

Il est essentiel que les entreprises appliquent au processus de traduction le même niveau de qualité qu’ils appliquent à leurs produits. Ainsi, des traductions de qualité permettront de renforcer la bonne image de leur entreprise et assurer la satisfaction de sa clientèle.
SOURCE : http://www.babelsigns.com/article-l-importance-de-la-traduc…

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16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 11:53

En quelques années, la plupart des instituts de formation en langues sont passés de la traduction à la communication multilingue. Certes, l’essor des sciences de l'information et de la communication en est la cause en partie, mais cette possibilité n'existerait pas si la dimension polyglotte n’était pas implicitement comprise dans le concept même de transcription. Désormais, traduire représente une sorte communication en plusieurs langages et le traducteur fait un peu office de communicateur multilingue.

Ce changement de perspective reflète une évolution dans la théorie de la traduction et dans la pratique professionnelle. Avec l'autonomisation accrue de la discipline, la mesure linguistique est passée au second plan, comme un préalable évident, cédant le pas devant les préoccupations culturelles et communicationnelles. De plus, après avoir été longtemps cantonné dans la partie strictement langagière, l'interprète accède progressivement à de nouvelles fonctions et assume des responsabilités qui débordent largement le cadre de la translation à proprement parler.

Il participe désormais à l’adaptation de campagnes publicitaires, intervient au sein des entreprises pour préparer les communications en langue étrangère. Il prend aussi en charge la localisation des sites web en plusieurs langues, conseille les institutions et les organisations internationales sur la meilleure communication à adopter à l’égard de tel ou tel public cible, etc.

Ainsi, qu'elle soit commanditée par une société ou par une institution, la traduction apparaît comme une communication multilingue reposant sur l’identification du destinataire et porteuse d’une médiation à valeur stratégique. En tant que communication polyglotte, elle se déroule selon un processus en trois étapes : d’abord, la reconnaissance du récepteur ; ensuite, la définition d’un langage spécifique ; enfin, l’établissement d’une relation fondée sur les connaissances communes.

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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 11:53

Qu'il soit traducteur littéraire, traducteur expert ou traducteur technique, ce professionnel des langues étrangères doit avoir le goût des langues  à l'écrit et aimer rédiger. Derrière l'image prestigieuse du traducteur littéraire qui se confronte aux beaux textes de la littérature mondiale, c'est le domaine de la traduction technique qui offre le plus de débouchés sur le marché de la traduction. 
Spécialisé dans un domaine (juridique, médical, informatique, électronique...), le traducteur technique ne peut en général se passer de l'anglais.
Par ailleurs, la majorité des traducteurs littéraires pratiquent la traduction en plus de leur activité principale : ils peuvent être professeurs, journalistes, écrivains... Le traducteur littéraire travaille pour le secteur de l'édition et peut traduire un texte littéraire, un guide pratique... 
D'autres traducteurs travaillent dans l'audiovisuel. Ils sont spécialisés dans les sous-titrages et doublages de films pour le cinéma ou la télévision ainsi que dans la préparation des émissions de radio. Enfin, le traducteur peut aussi travailler dans le secteur judiciaire. Dans ce cas, le traducteur expert judiciaire assiste la justice dans son travail. Il traduit des documents à produire en justice et effectue des missions d'expertise. Il est nommé par l'autorité judiciaire.

 

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2 octobre 2017 1 02 /10 /octobre /2017 12:22

La traduction pour le secteur bancaire, financier et le trading est certainement l’une des spécialités les plus pointues d’un traducteur. La maitrise des langues et des techniques de traduction ne suffisent pas. C’est un secteur dont il faut aussi comprendre les subtilités.

Nous proposons, dans ce domaine, la traduction de toutes sortes de documents techniques : des rapports annuels, des présentations, des documents de communication internes et externes, des offres de prêts, des contrats, des ordres de virement, des rapports d’analyse de titres etc.

Nous avons mis en place de nombreux glossaires et bases terminologiques. Chaque client a ses exigences en matière de traduction. C’est pour cette raison que chaque collaboration démarre avec la rédaction d’un guide de style, enrichi au fur et à mesure pour s’assurer que les préférences du client soient toujours prises en compte.

Contactez-nous pour en savoir plus
Linguaspirit, 25 rue de Ponthieu 75008 Paris
Téléphone : 01 84 17 83 53
E-mail : contact@linguaspirit.com
www.linguaspirit.com

 

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25 septembre 2017 1 25 /09 /septembre /2017 12:47

La traduction juridique est la traduction technique ou spécialisée du domaine du droit et des sciences juridiques. Le droit est écrit de manière très différente selon les époques et les pays. Parfois, le traducteur a du passer d'un droit coutumier oral en langue locale, à un droit écrit dans une autre langue.

Dans le domaine des textes juridiques, en particulier des textes de valeur internationale (exemples : conventions internationales, brevet, engagement, étiquetage ou contrats de valeur transfrontalière) ou d'application transfrontalière (exemples : directive ou règlement européen), des enjeux particulier et importants de « bonne traduction » existent, avec parfois des processus de certification conforme (traduction conforme).

Le langage et sa précision ont une importance majeure dans le droit. Le traducteur peut parfois pour améliorer son travail s'appuyer sur les jurisconsultes, des travaux de philosophie du droit, et surtout de sémiotique et de linguistique juridique.

S'il est relativement facile pour un traducteur compétent dans le droit de transposer ou traduire un texte juridique abscons mais précis en un texte plus clair pour chacun, l'inverse est plus délicat. Le traducteur, même s'il est lui-même juriste doit ainsi parfois interpréter.

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15 septembre 2017 5 15 /09 /septembre /2017 13:58

Aujourd’hui, les échanges culturels ne cessent de progresser. Ce phénomène traduit le désir de partager une culture à l’échelle mondiale.
La traduction audiovisuelle a pour but de transmettre et de promouvoir les différentes cultures, langues et histoires à l’échelle mondiale, tout en préservant leur singularité et leur authenticité.

LES DIFFICULTÉS

La traduction audiovisuelle intervient sous différentes formes, les plus courantes étant le doublage et le sous-titrage. Dans un cas comme dans l’autre, il existe de nombreuses contraintes et difficultés, en particulier lorsqu’il s’agit de traduire des contenus audiovisuels.

Il ne s’agit pas simplement de traduire des dialogues, mais également de prendre en compte les informations contenues dans les images et les bandes sonores. La difficulté majeure de cet exercice est de préserver le sens et le message que l’auteur veut transmettre, à travers l’humour par exemple. Si vous transmettez un message avec des erreurs ou des imprécisions, le sens de celui-ci sera ainsi déformé ou perdu.

LES ENJEUX

La traduction audiovisuelle va au-delà de la simple transcription : il est important d’adapter les références culturelles en fonction du public cible car les adaptations audiovisuelles ont un but éducatif, informatif et culturel.

Un traducteur audiovisuel professionnel, ou tout autre intervenant, doit être qualifié et compétent dans son domaine car il a pour mission d’élaborer de nouvelles normes afin de contourner les difficultés abordées et d’apporter des solutions à celles-ci.

Ces nouvelles normes ont pour objectif d’améliorer et d’enrichir les adaptations audiovisuelles, de garantir la qualité de la traduction, d’éviter la diffusion d’erreurs pour que le public cible puisse comprendre facilement le message et les références culturelles associés à l’œuvre d’origine.
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/lea/cfttr/veille/?p=2555

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 11:16

Faites bonne impression avec un CV traduit par des professionnels. Un CV ne doit pas seulement être traduit mais aussi adapté au public cible. Il faut le présenter tel qu’on le présente dans le pays dans lequel vous postulez pour un meilleur confort de lecture du recruteur.

 

Nous vous donnerons également des conseils sur le contenu, les informations à ne pas oublier et celles qu’il ne faut surtout pas inclure dans un CV. 
Nous proposons la traduction de CV, de lettres de motivation, de lettres de référence et tout élément constitutif d’un dossier de candidature dans plus de 50 langues.

 

Contactez-nous pour en savoir plus
Linguaspirit, 25 rue de Ponthieu 75008 Paris
Téléphone : 01 84 17 83 53
E-mail : contact@linguaspirit.com
www.linguaspirit.com

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Présentation

Ce blog propose d’aborder tous les aspects de la traduction et du métier de traducteur et d’aider et d’informer tous les curieux des problématiques linguistiques.

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