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24 mai 2018 4 24 /05 /mai /2018 12:37

La traduction (dans son acception principale de traduction interlinguale) est le fait de faire passer un texte rédigé dans une langue (« langue source », ou « langue de départ ») dans une autre langue (« langue cible », ou « langue d'arrivée »). Elle met en relation au moins deux langues et deux cultures, et parfois deux époques.

 

Une traduction (translation en ancien français) représente toujours un texte original (ou « texte source », ou « texte de départ ») ; en cela, elle comporte un certain degré d'équivalence, bien que le concept d'équivalence stricte entre les langues soit désormais dépassé en traductologie. Le concept de traduction repose depuis longtemps sur des dichotomies telles que « fidélité » versus « liberté », « fidélité à la lettre » versus « fidélité à l'esprit », « traduction sourcière » versus « traduction cibliste », etc.

 

La traduction tient compte d'un certain nombre de paramètres (contexte, grammaire, etc.), afin de se rendre compréhensible pour des personnes n'ayant pas de connaissance de la langue source et n'ayant pas la même culture ou le même bagage de connaissances. Traduire implique maîtriser la langue source mais aussi la langue cible (ou destinataire), qui est généralement la langue maternelle. Le bon traducteur possède plus que des compétences linguistiques : il doit être capable d'analyser le texte, et lui-même posséder des qualités d'écriture. Pour traduire les textes scientifiques et techniques, il doit également posséder de solides connaissances techniques et maîtriser le jargon dans les deux langues.

 

La traduction est encore essentiellement humaine, mais des outils informatiques de traduction automatique apparaissent (traduction assistée par ordinateur).
La discipline qui s'intéresse à la traduction se nomme la traductologie.

 

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22 mai 2018 2 22 /05 /mai /2018 12:09

Vous êtes dans un secteur de pointe où la plupart des termes sont encore à inventer ? Cela constitue un vrai défi pour les traducteurs que nous sommes. Nous le relevons tous les jours pour nos clients du secteur des nouvelles technologies.

Nos domaines d’intervention sont vastes dans le domaine du « high tech ».

Nous offrons nos services de traduction aux éditeurs, concepteurs et créateurs de nouvelles applications pour smartphone, de nouvelles fonctions de téléphone, d’appareils photo révolutionnaires, ou dans les domaines (entre autres) de la domotique, de la robotique ou de l’électro-ménager.

Nous travaillons étroitement avec vous pour comprendre votre produit et votre technologie pour une traduction sans faille de tous les documents qui s’y rapportent. Nous travaillons bien sûr dans la plus stricte confidentialité et signons avec vous, si vous le souhaitez, des accords de confidentialité.

Contactez-nous pour en savoir plus

Linguaspirit, 25 rue de Ponthieu 75008 Paris

Téléphone : 01 84 17 83 53

E-mail : contact@linguaspirit.com

www.linguaspirit.com

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16 mai 2018 3 16 /05 /mai /2018 13:30
TRADUCTIONS DANS LE DOMAINE AGRO-ALIMENTAIRE

L’industrie agro-alimentaire est également un de nos domaines de spécialisation. Nous traduisons pour des usines de conserve, des fermes, des spécialistes de surgelés, des exploitants agricoles et des spécialistes du commerce équitable.

 

Toutes les entreprises, associations, ONG, petites ou grandes qui ambitionnent de conquérir de nouveaux marchés ou de nouer des partenariats à l’étranger ont besoin de traductions précises réalisées par de vrais professionnels. Vous pouvez nous confier la traduction de vos rapports, étiquettes produits, descriptifs, documents marketing, brochures, etc.

 

Pour chaque domaine spécifique de l’industrie agro-alimentaire, nous sélectionnons un spécialiste.

 

Linguaspirit, 25 rue de Ponthieu 75008 Paris (Nous recevons uniquement sur rendez-vous)

Téléphone : 01 84 17 83 53

E-mail : contact@linguaspirit.com

www.linguaspirit.com

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 13:54

Pour garder une trace de vos entretiens, conférences, assemblées générales, séminaires, discours et autres, nous vous proposons d’en réaliser la transcription, soit de rapporter par écrit la totalité de l’évènement.

 

Lorsque le fichier est destiné à être sous-titré, la transcription sera adaptée afin de faciliter l’incrustation des sous-titres. Toutes nos transcriptions sont réalisées par des professionnels natifs de la langue dans laquelle se tient l’évènement et spécialisés dans votre secteur.

 

Nous pouvons traiter tous les formats de fichiers : MOV, DivX, WMV, AVI, Xvid, MP3, MP4, VOB, 3GP, FLAC, WMV, Flash etc.

 

Nous pouvons également vous envoyer un intervenant qui assure la prise de note pour la rédaction d’un compte-rendu synthétique

 

Linguaspirit, 25 rue de Ponthieu 75008 Paris (Nous recevons uniquement sur rendez-vous)

Téléphone : 01 84 17 83 53

E-mail : contact@linguaspirit.com

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11 mai 2018 5 11 /05 /mai /2018 14:33

Certains organismes sont susceptibles d’exiger des traductions assermentées, ou jurées. En effet, de par leur caractère officiel, ce type de traductions permettent de certifier conforme un document par rapport à l’original. Tous les documents n’ont bien sûr pas besoin d’être certifiés conformes. Alors de quels documents s’agit-il ? Les administrations demandent des traductions assermentées pour les documents officiels. Par exemple, pour un acte de naissance, de mariage ou de décès, pour des pièces d’identité, un passeport en général, pour des diplômes délivrés par des institutions publiques, pour des statuts ou bilans de société, ou encore pour des brevets.

Il s’agit donc de garantir l’authenticité de documents juridiques ou techniques, traduits dans une autre langue que celle d’origine. Mais pourquoi les administrations demandent-elles ce type de traduction assermentée, dans quels cas les utilisent-elles ? Il peut s’agir d’utiliser ces documents dans des cas de procédures judiciaires, ou pour vérifier une succession, pour une inscription dans une université, une création ou reprise d’entreprise ou encore dans le cas d’un appel d’offres. Dans tous les cas, on a recours aux traductions assermentées pour des formalités législatives et administratives.

On peut ainsi dire que le but est de légaliser un document émis dans un pays étranger afin qu’il soit officiellement reconnu par le pays qui le demande. Par exemple, pour s’inscrire dans une université à l’étranger, l’étudiant devra fournir à l’administration un certain nombre de documents pour valider cette inscription : une pièce d’identité bien sûr, mais aussi ses diplômes, éventuellement les notes qu’il a obtenues pour valider ces diplômes, les barèmes de notation pouvant varier d’un pays à un autre.

L’université d’accueil, avant de valider toute inscription d’un étudiant étranger, se doit de vérifier les informations contenues dans le dossier remis par l’étudiant candidat et donc la conformité des documents demandés par l’administration.

L’étudiant demandera donc l’assistance, pour ces formalités législatives, d’un traducteur assermenté qui garantira l’authenticité des documents. L’université d’accueil aura de cette manière la mention « certifié conforme » dont elle a besoin pour valider les documents et donc l’inscription du candidat.

Contactez-nous pour en savoir plus
LINGUASPIRIT AGENCE DE TRADUCTION
www.linguaspirit-international.com/
MAIL: CONTACT@LINGUASPIRIT.COM
TEL: +33 (1) 84 17 83 53
SÉNÉGAL: (+221) 33 860 89 38/ (+221) 78 187 41 35

 
 
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9 mai 2018 3 09 /05 /mai /2018 12:08

Faites bonne impression avec un CV traduit par des professionnels. Un CV ne doit pas seulement être traduit mais aussi adapté au public cible. Il faut le présenter tel qu’on le présente dans le pays dans lequel vous postulez pour un meilleur confort de lecture du recruteur.

Nous vous donnerons également des conseils sur le contenu, les informations à ne pas oublier et celles qu’il ne faut surtout pas inclure dans un CV.

Nous proposons la traduction de CV, de lettres de motivation, de lettres de référence et tout élément constitutif d’un dossier de candidature dans plus de 50 langues.

 

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2 mai 2018 3 02 /05 /mai /2018 12:13

Traduit dans la majeure partie des langues du monde, Tintin ne s'était pas encore exprimé en albanais. C'est chose faite grâce à la petite maison d'édition Bénart qui présentera Skeptri i Otocaritlors du Salon du livre de Tirana du 12 au 16 novembre.

« Djallo dreq me brirë !» (Par les cornes du Diable !) peut désormais s'exclamer le plus célèbre des journalistes belges à houppette. La petite maison d'édition française Bénart, dont c'est la première publication, a acheté les droits de l'album Le sceptre d'Ottokar à Casterman. Arben Selimi, son fondateur, souhaite mieux faire connaître un genre très peu diffusé en Albanie, la BD, dont le meilleur ambassadeur ne pouvait être que Tintin, a fortiori lorsqu'il se promène dans les Balkans...

 

 C'est le cas dans cet album où les paysages et l'histoire semblent inspirés de la péninsule balkanique. « Le personnage de Muskar XII  rappelle le roi Zog 1er qui régna en Albanie de 1928 à 1939 », selon Arben Selimi, qui est aussi l'auteur de cette traduction, en binôme avec Évelyne Noygues. Quant au dictateur Müsstler, à la tête de sa Garde d'acier, l'identité de ses modèles ne fait pas grand secret.   

 

 Rappelons que Tintin dans ce 8ème album, paru dans le Petit vingtième entre août 1938 et 1939, se rend en Syldavie, pays imaginaire dont le drapeau est inspiré du drapeau albanais, si ce n'est que l'aigle bicéphale est remplacé par un pélican et que le fond rouge est devenu jaune. La Syldavie, alors sous la menace d'une annexion par la Bordurie, sera sauvée in extremis de ce coup d'État fasciste par l'intervention du vaillant reporter. Celui-ci ne se laissera pas détourner de son aventure par sa rencontre avec l'envahissante Bianca Castafiore qui y apparaît pour la première fois. Tintin retournera plus tard en Syldavie dans Objectif Lune et On a marché sur la lune

 

« Nous sommes convaincus que non seulement l'accueil de la part des lecteurs sera bon, mais aussi et surtout que cela ouvrira le chemin à d'autres projets éditoriaux de ce type », s'enthousiasme Évelyne Noygues dont le blog Albania rassemble d'innombrables informations sur la culture albanaise. Elle rappelle que contrairement au Kosovo voisin (ex-Yousgoslavie) où « sous Tito, tous les enfants lisaient Tarzan, les Albanais, eux, n'ont pas connu les bulles ». L'absence de culture bédéphile a bien sûr influé sur les choix de traduction. Le marché de la BD est encore aujourd'hui très réduit.

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25 avril 2018 3 25 /04 /avril /2018 11:45

Du plus loin que l'on remonte dans l'histoire, la traduction, sève nourricière des langues et des cultures, existe. On a toujours eu besoin d'hommes pour servir de courroies de transmission entre les peuples de langues et de cultures différentes. Mais la traduction n'est pas seulement le passage d'une langue à une autre pour assurer la compréhension : c'est aussi une œuvre de civilisation et de progrès. Sans la traduction des œuvres grecques, indiennes et persanes, la civilisation musulmane n'aurait pas pris son essor, et sans les traductions des œuvres arabes en latin, puis dans les langues européennes, la révolution scientifique et technologique du monde moderne n'aurait pas lieu. Aujourd’hui, on traduit non seulement les livres mais aussi les films et, dans les réunions on recourt à la traduction simultanée : la langue n'est plus un frein, on peut communiquer librement, échanger des connaissances, établir des contacts…

La traduction fournit également une aide précieuse au développement des langues. Les exemples ne manquent pas dans l'histoire : les traductions des œuvres philosophiques grecques ont aidé l'arabe à se doter, par emprunts et surtout par calque, d'un vocabulaire spécialisé. L'anglais s'est enrichi des influences extérieures, l'allemand est devenu une langue standard avec la traduction de la Bible, l'émergence d'une langue vernaculaire suédoise s'est faite avec la christianisation et la traduction des Écritures… Durant la période de la nahda (renaissance culturelle), la littérature arabe s'est largement inspiré des œuvres traduites occidentales pour renouveler ses genres et ses thèmes.

source : http://www.fabula.org/…/la-traduction-comme-moyen-de-rencon…

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23 avril 2018 1 23 /04 /avril /2018 15:46

Le traducteur ne doit pas seulement avoir une parfaite maîtrise de ses langues de travail, il doit aussi connaître parfaitement la terminologie du domaine dans lequel il traduit. Un traducteur doit donc avoir des compétences en recherches documentaires et s'informer en permanence via Internet ou dans des ouvrages spécialisés. Un bon traducteur dispose aussi d'un réseau d'experts auxquels il peut s'adresser en cas de doute. Dans ce métier, l'erreur est proscrite. Une mauvaise interprétation d'un manuel d'utilisation d'un équipement médical, par exemple, peut avoir des conséquences graves. Lorsqu'un traducteur commet ce type d'impair, sa réputation s'en voit ébranlée et il se peut qu'il perde de nombreux clients.

 

Le processus de traduction suit une méthodologie rigoureuse :

 

Réception du projet.

 

Établissement du devis et des délais, validation par le client.

 

Constitution d'un glossaire terminologique multilingue, validation par le client (lors de cette étape le client fournit parfois son propre glossaire terminologique et parfois même un guide de style à respecter dans un souci de cohérence).

 

Phase de traduction, éventuelles questions à poser au client.

 

Première révision par un traducteur-réviseur. Il s'agit ici de faire un premier contrôle orthographique et de vérifier la cohérence entre le texte source et le texte cible.

 

Relecture technique, réalisée si possible par un expert. On ne regarde plus que le texte cible.
Contrôle qualité "Linguistic Sign-off" : dernier contrôle qualité qui inclut la vérification de la mise en page.

 

Livraison au client

 

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20 avril 2018 5 20 /04 /avril /2018 13:00

L'expression « Merci de répondre... » est fréquemment utilisée lorsque vous demandez dans une lettre ou par mail un retour de la part de votre interlocuteur.

 

Beaucoup de français traduisent cette expression par « Thank you to reply ». Cette traduction littérale est incorrecte et ne sera pas nécessairement comprise par votre interlocuteur anglophone.

 

La traduction la plus adaptée est « Please reply ».

 

Par exemple :

 

Merci de répondre dans les prochains jours. / Please reply within the next few days.

 

La forme « Please reply » est préférable à « Thank you for replying » qui implique une réponse obligatoire de votre interlocuteur et peut être ressentie comme impolie.

 

 

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Présentation

Ce blog propose d’aborder tous les aspects de la traduction et du métier de traducteur et d’aider et d’informer tous les curieux des problématiques linguistiques.

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