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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 12:43

La saison des mariages est ouverte !

Vous souhaitez féliciter un(e) collègue, collaborateur(trice), fournisseur ou ami(e) qui s’apprête à faire le grand saut ? Voici quelques expressions qui vous aideront à exprimer simplement et sincèrement vos meilleurs vœux de bonheur en anglais : 

Just a note to say how happy I am for you. Wishing you a lifetime of the joy, love, and happiness. Congratulations!

Un court message pour vous dire combien je suis heureux (se) pour vous. Je vous souhaite une vie pleine de joie, d'amour et de bonheur. Toutes mes félicitations !

Wishing both of you a world of happiness and joy on your wedding day.

Je vous souhaite à tous les deux tout le bonheur du monde et beaucoup de joie en ce grand jour.

Thank you for inviting me/us all to celebrate your wedding.Wishing you all the best for today and always.

Merci de nous/m'avoir invité(e) pour célébrer votre mariage. Je vous souhaite le meilleur aujourd'hui et à jamais.

Wishing you a wonderful ceremony with lots of wonderful memories.

Je vous souhaite une merveilleuse cérémonie qui vous laissera de nombreux et merveilleux souvenirs. 

Congratulations on the wedding! Wishing you all the best for the future.

Toutes mes félicitations pour votre mariage ! Mes meilleurs voeux de bonheur.

 

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21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 11:24

Contrairement à une idée reçue les Américains ne sont pas les seuls à appeler le football « soccer ». Ils le partagent avec les Australiens, Canadiens et autre Néo-Zélandais. L’origine de cette appellation remonte au 19e siècle en Angleterre.

 

En effet, à l’époque, différents jeux de ballons portaient le nom de football, mais en 1863, plusieurs équipes ont décidé d’appliquer un ensemble de règles communes et lui ont donné le nom d’Association Football.

 

Mais les étudiants avaient l’habitude d’ajouter le suffixe « er » aux sports qu’ils pratiquaient. Ils disaient « Rubber » au lieu de Rugby et Association est devenu « Assoccer ». Quand on demandait à un étudiant s’il voulait jouer au « Rubber », il répondait : non je préfère le « Soccer raccourci pour le « Assoccer ». Les Américains ont préféré utiliser le mot Soccer, qui était aussi répandu à l’époque, pour éviter la confusion.

 

Aujourd’hui aux Etats-Unis même si le « soccer » est loin d’être le sport favori des américains, le football venant loin derrière le basketball, le football américain, le baseball et le hokey sur glace, force est de reconnaitre qu’il y a de plus en plus un certain engouement pour ce sport.

 

Lors de la coupe du monde 2014, 14 millions de téléspectateurs ont suivi la défaite de « team Usa » devant l’Allemagne, un record. Lors de chaque match les bars et les restaurants sont remplis à ras bord. Preuve du futur radieux du «soccer » chez les « Yankees ».

 

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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 11:26

Dans le cadre de vos dossiers internationaux vous serez probablement amené à faire réaliser une traduction certifiée d’un ou de plusieurs documents. La plupart l’ignorent, mais ce type de traduction implique en fait une procédure beaucoup plus longue qu’une simple traduction libre.

 

1. TRADUCTION CERTIFIÉE OU TRADUCTION LIBRE ?

 

Pour ouvrir une filiale à l’étranger ou effectuer une opération à l’étranger, il n’est pas rare que les autorités du pays de destination concerné demandent de présenter un extrait Kbis à jour de votre société en France, ou tout autre document de ce type. Vous devez alors fournir une « traduction certifiée » par un traducteur assermenté (parfois aussi appelée « traduction assermentée » ou « traduction jurée »). Le traducteur assermenté (traducteur expert près une Cour d’Appel) appose son cachet et sa signature sur la traduction et sur l’original pour certifier la conformité de la traduction avec l’original. Une traduction certifiée peut vous être demandée pour tout document. Pour savoir si ce type de traduction est nécessaire, adressez vous de préférence à l’autorité (tribunal, administration, etc.) qui vous a demandé ladite traduction.

 

Il est très important de savoir dès le début si une traduction certifiée est nécessaire ou non car le prix et le délai de réalisation diffèrent sensiblement de ceux d’une traduction non-certifiée (plus généralement appelée « traduction libre »). Une traduction certifiée coûte en effet beaucoup plus cher (le traducteur assermenté engage sa responsabilité) et nécessite des délais plus importants (les traducteurs assermentés sont beaucoup moins nombreux que leurs confrères non assermentés, et sont donc très sollicités et peu disponibles).

 

Notez cependant que le fait qu’un traducteur soit « assermenté » ne signifie pas qu’il a une compétence particulière pour bien traduire les documents juridiques mais seulement qu’il dispose d’un diplôme adéquat et reconnu de niveau Bac+5 et qu’il a prêté serment devant une Cour d’Appel. Les traducteurs assermentés peuvent ainsi être spécialisés dans des domaines variés qui peuvent être nécessaires pour certaines traductions ou n’avoir aucune spécialisation particulière.

 

2. TRADUCTION CERTIFIÉE A PARTIR DE L’ORIGINAL  OU A PARTIR D’UNE COPIE ?

 

Pour une traduction certifiée d’un extrait Kbis (ou d’autres documents de ce type), le pays de destination exige généralement que la traduction soit effectuée à partir de l’original et non à partir d’une copie. Concrètement, cela signifie que le traducteur assermenté devra apposer son tampon et sa signature sur l’original papier fourni et non sur une copie papier de l’original.* Vous devrez donc faire parvenir l’original à ce traducteur, ce qui est à prendre en compte dans les délais de réalisation.

 

* Une certification à partir d’une copie est souvent acceptée pour des traductions qui seront utilisées en France. Cependant, il vaut mieux demander à l’autorité qui exige la traduction certifiée si elle souhaite qu’elle soit effectuée à partir de l’original ou d’une copie.

 

3. LA NECESSITÉ D’AVOIR LE DOCUMENT DÉFINITIF

 

Un autre aspect à prendre en compte pour les délais est le fait que le traducteur assermenté peut exiger d’avoir l’original papier entre ses mains pour pouvoir commencer sa traduction (auquel cas le délai devisé commence à courir à réception par le traducteur de l’original papier). Ceci s’explique par le fait qu’il n’a aucune garantie que le fichier initialement envoyé par courrier électronique correspondra effectivement au document qui sera fourni en version papier et qui devra être utilisé pour la certification. Et si les différences entre le PDF et l’original papier sont trop importantes, une traduction effectuée à partir du PDF est autant de temps perdu pour le traducteur qui devra modifier en profondeur sa traduction, voire tout recommencer.

 

De manière générale, il est préférable que le document à traduire soit dans sa version finale au moment où la traduction est lancée. En effet, une fois terminée, imprimée, certifiée et envoyée par courrier ou par coursier (la traduction certifiée est sous format papier), la traduction certifiée ne pourra plus être modifiée. L’ajout d’une date ou d’une phrase supplémentaire nécessitera donc que le traducteur assermenté, s’il est disponible à ce moment là, modifie sa traduction (notez que certains traducteurs assermentés ne conservent le fichier numérique de leur traduction que pendant quelques mois), imprime la nouvelle traduction (et l’original si la certification doit être faite à partir d’une copie), appose ses tampons et signatures sur les différentes pages de la traduction et de l’original, et renvoie le tout par courrier ou par coursier, avec bien sûr les coûts et délais qui en découlent. Sans oublier que, en cas de certification à partir de l’original papier, la nouvelle version papier de l’original doit auparavant être envoyée au traducteur assermenté.

 

SOURCE : village-justice.com

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14 février 2018 3 14 /02 /février /2018 10:10

Avec environ 6000 langues parlées, 200 pays et 7 milliards d'habitants dans le monde, la traduction possède une place cruciale dans nos échanges… Et bien plus. Quels sont les chiffres de la traduction en 2017 ?

 

LE MARCHÉ DE LA TRADUCTION

Avec 43 milliards de dollars US de chiffre d'affaires et une augmentation proche des 6 % par an, le secteur de la traduction professionnelle a encore de beaux jours devant lui. En effet, le marché mondial comprend plus de 18 000 sociétés, 640 000 traducteurs ou interprètes dont un quart de freelances. Les prestataires de services linguistiques demeurent nombreux et se divisent majoritairement entre l'Europe (53% des revenus) et l'Amérique du Nord (35% des revenus), principalement aux États-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni.

Selon le rapport de Common Sense Advisory, les entreprises américaines Lionbridge Technologies et TransPerfect/Translations.com occupent les deux premières places à l'international, suivies par HPE ACG.

La demande reste conséquente, particulièrement dans les domaines techniques tels que l'industrie, le commerce, le droit et les sciences. Quant au prix d’une traduction, il varie selon la technicité d’un document et les langues de départ et d’arrivée : l’anglais, l’allemand, l’italien et l’espagnol tournent aux alentours de 0,15 centime d’euros par mot, alors que des langues comme le chinois, le russe ou le japonais se rapprochent des 0,20 centime d’euros par mot.

 

L'ANGLAIS, UNE LANGUE UNIVERSELLE

En comptabilisant 372 millions de natifs et plus d'1,5 milliard de locuteurs, l'anglais est la première langue parlée et enseignée dans le monde. Dans le domaine des affaires, elle est aussi la plus prisée avec deux tiers des échanges effectués en anglais. Comprise par un tiers de la population mondiale, de nos jours, elle occupe aussi une place centrale sur le web avec un peu plus de 50% de sites internet écrits dans la langue de Shakespeare.

 

LA TRADUCTION LITTÉRAIRE

En littérature, l'anglais est également une langue cible privilégiée, notamment du français et de l’allemand, avec plus de 32 000 traductions d'ouvrages. À ce jour, l'auteur le plus traduit est l'Anglaise Agatha Christie avec 7236 traductions d'ouvrages, suivie par Jules Verne avec 4751 et William Shakespeare avec 4296 traductions. Pourtant le livre le plus traduit au monde, après la Bible, est français. En effet, Le Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry en est à sa 300e traduction.

SOURCE : http://www.tradutec.com/…/311-les-chiffres-de-la-traduction…

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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 10:46

La traductologie examine inlassablement les sources de la traduction. Ces études comportent pour toile de fond des débats très relatifs sur la fidélité ou la trahison dont le traducteur fait preuve, qu'il soit « sourcier » ou « cibliste », à savoir qu’il privilégie la langue de départ ou la langue d’arrivée. La traductologie s'intéresse également aux ressources de la traduction en analysant les outils lexicographiques que sont les dictionnaires ou autres glossaires. L'exposition "sources de la traduction », présentée récemment à la Bibliothèque universitaire de Lille, en est un bel exemple. En revanche, il est moins courant d'approcher la traduction en tant que source, à savoir s'intéresser non pas aux sources de la traduction, mais à la traduction comme source.

 

Une approche historique semble incontournable, car dès l'Antiquité, la traduction fut source de découverte et de création. Cet axe diachronique portera par exemple sur les textes ayant permis de connaître des langages ou des textes disparus ou jusqu'alors indéchiffrés. On pense d'emblée à l'exemple de traduction le plus célèbre de l'Antiquité, la Pierre de Rosette, qui permit à Champollion de déchiffrer les hiéroglyphes. On pourra également se pencher sur des traductions de textes perdus, par exemple la traduction de Cicéron des discours d'Eschine et de Démosthène, auquel d'autres textes font référence.

 

Pourtant, au delà de ces cas de découvertes ou de disparitions, on constatera aussi que, dès l'Antiquité, l'alternance historique entre traduction littérale et traduction libre favorisa un processus de création issu d’un acte de traduire encore pérenne. Dans une approche plus contemporaine la traduction doit aussi être prise comme source de création. De fait, la traduction ne se limite jamais à une simple transposition de sens littéral mais constitue une véritable « re-création », au sens propre d'une seconde vie du texte, à laquelle vient parfois s’ajouter une véritable descendance, dans le cas d’œuvres célèbres imitées ou constamment retraduites. On s'attardera par exemple sur les « re-créations » de l'époque romaine qui s'inspirèrent de textes grecs prestigieux, dans une activité de « traduction-imitation » qui sera reprochée à des auteurs comme Plaute ou Térence. Sans aller jusqu'à l'imitation, la traduction fonctionne aussi par échos puisqu'elle permet, par la prolifération de ses multiples, d'inspirer d'autres auteurs. Les reproches qu’on a pu faire aux traducteurs-imitateurs seront, au Moyen Âge, perçus comme des vertus : Bono Giamboni, par exemple, cite, imite et reprend Prudence sans mentionner sa source. On ne saurait aujourd'hui critiquer des auteurs comme Shakespeare, Molière ou La Fontaine d'avoir abondamment puisé dans ces sources antiques, souvent d'ailleurs par le biais de traductions. On pourrait ainsi revisiter le succès révolutionnaire du Tristram Shandy de Laurence Sterne chez ses confrères européens, comme Diderot ou Pouchkine, qui connurent cette œuvre uniquement en traduction. Nous verrons ainsi que, quelle que soit son degré de fidélité, la traduction sert toujours d'élément de base à la transformation d'un héritage en une culture nouvelle.

 

La traduction fut aussi source d'inspiration dans des circonstances plus tragiques qui conduisirent à la censure. Par exemple, sous le fascisme italien, de nombreux auteurs se retrouvant au chômage ou sans éditeur eurent recours à la traduction d'abord comme pis-aller, puis comme moyen d'expression. Americana, une anthologie de littérature américaine publiée en 1941 chez Bompiani sous la direction d’Elio Vittorini eut pour traducteurs des auteurs aussi prestigieux qu’Eugenio Montale, Alberto Moravia ou encore Cesare Pavese. Les préfaces et annotations de Vittorini déplurent au Ministero di cultura popolare qui les censura mais qui accepta finalement la traduction, d’abord dépourvue de commentaires, puis préfacée l’année suivante par Emilio Cecchi, auteur jugé moins subversif. Un même phénomène fut observé en Union soviétique du temps de la Guerre froide où, selon le linguiste et théoricien de la traduction Efim Etkin, les poètes russes « communiquèrent avec leur lectorat par l’intermédiaire de leurs traductions de Goethe, Shakespeare, Orbéliani et Hugo ». Ces auteurs réduits au silence traduisirent pour continuer de se faire entendre tout en faisant silence sur une œuvre que, dans le meilleur des cas, ils continuaient secrètement d’écrire. Ainsi, malgré la censure, la traduction, cette deuxième voie, devint désespérément source d'écriture.

 

SOURCE: fabula.com/ Université Jean-Monnet de Saint-Etienne, colloque internationale sur la traduction

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5 février 2018 1 05 /02 /février /2018 11:19

La langue anglaise est devenue la principale langue internationale de la planète. C'est la langue principale en Grande Bretagne, en Irlande, aux USA, au Canada, en Australie, en Nouvelle Zélande, et dans d'autres pays tels le Botswana et l'Ouganda. Environ 320 millions de personnes parlent anglais comme première langue - à peu près le même niveau que l'espagnol - mais moins que le Mandarin (Chinois) ou le Hindi (langue indienne).

On estime à environ 460 millions le nombre de personnes au monde qui parlent et utilisent l'anglais dans leur vie quotidienne, un total qui n'est dépassé que par le Mandarin - dont la quasi totalité des locuteurs sont en Chine. La langue anglaise est devenue la langue du commerce international, des affaires, de la diplomatie, et du tourisme.

 

MAIS COMMENT DONC LA LANGUE ANGLAISE A-T-ELLE ATTEINT UNE TELLE POSITION DOMINANTE ?

Après l'Espagne au 16° siècle, l'Angleterre est devenue la nation coloniale la plus active au 18° et 19° siècles, et les explorateurs et colons britanniques ont amené leur langue avec eux, partout sur la planète. Puis au 20° siècle, ce fut le tour des Etats Unis, devenus la nation la plus puissante, d'étendre encore le développement de l'anglais.

 

L'importance des entreprises multinationales américaines a fini par imposer la langue anglaise comme langue internationale des affaires, et Hollywood et l'industrie de la musique ont complété le processus, en faisant de l'anglais la langue principale des médias, de la musique et du showbiz..

 

Mais il y a d'autres facteurs aussi qui ont contribué au développement de la langue anglaise; il s'agit d'aspects de la nature même de la langue anglaise.

 

Il y a plus de mille ans, alors que la configuration de l'Europe moderne commençait, l'Europe de l'ouest comptait trois zones différentes; à l'est, des tribus parlant des langues slaves, au milieu des tribus parlant des langues germaniques (dont les langues scandinaves), et au sud et à l'ouest se trouvaient des ethnies parlant des langues d'origine romane. A l'extrême ouest se trouvaient également quelques tribus parlant des langues celtiques, telles le gaélique.

 

A cette époque, l'Angleterre était un pays germanique, la Terre des Angles; la plupart de ses habitants parlaient des langues d'origine germanique (dont des langues scandinaves); une minorité parlait des langues celtiques..

 

En 1066, la Terre des Angles, England, fut conquise par les Normands, venus de France, qui ont amené dans leurs bagages leur propre langue, le français normand, langue romane.

 

Au cours des siècles suivants, la vieille langue germanique du peuple anglais, le vieil anglais, s'est mélangée avec la langue française parlé par les nobles, le français normand, pour produire une nouvelle langue : l'anglais. Cette langue fut ainsi assez particulière, dans la mesure où elle s'était formée d'éléments venus de deux familles de langues différentes. Elle était en partie germanique (notamment par sa grammaire et ses structures), en partie romane (notamment une grande partie de son vocabulaire). Les langues celtes ont largement échappé à ce processus, et sont restées en vie en Cornouailles et dans l'ouest des îles britanniques. .

 

Autrement dit, la langue anglaise a un pied dans chacun des deux camps linguistiques principaux de l'Europe de l'Ouest. La plupart des ressortissants de pays d'Europe occidentale peuvent retrouver des éléments familiers dans la langue anglaise.

 

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 11:50

Ces deux homophones posent problème à de nombreux français (et anglo-saxons) qui confondent souvent leur utilisation.

 

Selon le contexte, « whose » peut être pronom, adjectif possessif ou pronom relatif. Il est traduit en français par « à qui », « de qui » ou « dont ».

 

 Exemples d’utilisation de « whose » :

 

 Pronom : Whose is this book ? / A qui appartient ce livre ?

 

Adjectif possessif : Whose book are you talking about ? / Vous parlez du livre de qui ?

 

Pronom relatif : The man whose book is interesting. / L’homme dont le livre est intéressant.

 

 « who’s » est en réalité la forme contractée de « who is » ou « who has ». Sa fonction est donc pronom interrogatif ou pronom relatif. Dans ce deuxième cas, à l’inverse de « whose », il sera traduit par « qui » et non par « dont ».

 

 Exemples d’utilisation de « who's » :

 

Pronom interrogatif : Who’s ready to go ? / Qui est prêt à partir ?

 

Pronom relatif : He’s the man who’s ready to go. / C’est l’homme qui est prêt à partir.

 

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31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 11:01

Certains organismes sont susceptibles d’exiger des traductions assermentées, ou jurées. En effet, de par leur caractère officiel, ce type de traductions permettent de certifier conforme un document par rapport à l’original. Tous les documents n’ont bien sûr pas besoin d’être certifiés conformes. Alors de quels documents s’agit-il ? Les administrations demandent des traductions assermentées pour les documents officiels. Par exemple, pour un acte de naissance, de mariage ou de décès, pour des pièces d’identité, un passeport en général, pour des diplômes délivrés par des institutions publiques, pour des statuts ou bilans de société, ou encore pour des brevets.

Il s’agit donc de garantir l’authenticité de documents juridiques ou techniques, traduits dans une autre langue que celle d’origine. Mais pourquoi les administrations demandent-elles ce type de traduction assermentée, dans quels cas les utilisent-elles ? Il peut s’agir d’utiliser ces documents dans des cas de procédures judiciaires, ou pour vérifier une succession, pour une inscription dans une université, une création ou reprise d’entreprise ou encore dans le cas d’un appel d’offres. Dans tous les cas, on a recours aux traductions assermentées pour des formalités législatives et administratives.

On peut ainsi dire que le but est de légaliser un document émis dans un pays étranger afin qu’il soit officiellement reconnu par le pays qui le demande. Par exemple, pour s’inscrire dans une université à l’étranger, l’étudiant devra fournir à l’administration un certain nombre de documents pour valider cette inscription : une pièce d’identité bien sûr, mais aussi ses diplômes, éventuellement les notes qu’il a obtenues pour valider ces diplômes, les barèmes de notation pouvant varier d’un pays à un autre.

L’université d’accueil, avant de valider toute inscription d’un étudiant étranger, se doit de vérifier les informations contenues dans le dossier remis par l’étudiant candidat et donc la conformité des documents demandés par l’administration.

L’étudiant demandera donc l’assistance, pour ces formalités législatives, d’un traducteur assermenté qui garantira l’authenticité des documents. µL’université d’accueil aura de cette manière la mention « certifié conforme » dont elle a besoin pour valider les documents et donc l’inscription du candidat.

 

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29 janvier 2018 1 29 /01 /janvier /2018 10:50

Pendant de nombreuses années, il fut pratiquement impossible d’avoir une idée précise de ce que pouvait représenter un marché « mondial » de la traduction.

 

Jusqu’à ce qu’arrive Common Sense Advisory, CSA pour les intimes, fondée en 2001 par Donald A. DePalma et Renato S. Beninatto, une société de recherche indépendante qui publie un rapport annuel sur l’évolution du marché « mondial » de la traduction, grâce auquel on en découvre chaque année davantage et qui est probablement devenu « la » référence en la matière.

 

Or que dit la dernière monture de ce rapport (version publiée en mai 2012) ?

 

Qu’en 2012 le marché de la traduction « pesait » 33,5 milliards de $, chiffre qui devrait passer à 37,6 en 2013, soit une progression prévue d’env. 12,5%.

Dernière estimation : à l’horizon 2015, le marché mondial devrait « valoir » 47,3 milliards de $, soit une hausse dépassant 40% par rapport à 2012.

 

En termes d’emplois, cela se traduit (c’est le cas de dire) par 1,2 million de salariés dans l’industrie des services linguistiques, dont 640 mille traducteurs (53,8 % du total).

Là encore les prévisions pour 2015 envisagent un C.A. plus que doublé, à presque 42 milliards de $ (260 milliards de Yuans), pour 2 millions d’emplois.

SOURCE:http://translation20.blogspot.sn/…/combien-pese-vraiment-le…

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26 janvier 2018 5 26 /01 /janvier /2018 11:20

Il n'existe pas une seule et unique traduction d'un texte, d'un mot, plusieurs interprétations sont possibles.
Petits conseils:

Il faut rester fidèle au texte de départ (niveau de langue, respect du style,...) et arriver à une lecture fluide et cohérente du texte d'arrivée en français. La mise en français doit être soignée (attention aux fautes d'orthographe, de conjugaison, d'accord, mais aussi de majuscule et de ponctuation!), et surtout, ne JAMAIS laisser de blanc!!!

Les noms propres sont à conserver SAUF s'ils ont des équivalents français reconnus (exemple : The White House-> la Maison-Blanche,...), et SAUF si le choix influence la compréhension du texte (notamment avec les surnoms des personnages, des lieux,...).Les unités sont elles aussi à traduire, à convertir QUAND elles n'évoquent rien en français (dollar sera à conserver, mais pas miles, par exemple!)

Attention aussi à la préposition qui suit le verbe anglais, en français, c'est elle que l'on traduira en premier (ex: He looked down. -> Il baissa les yeux.)

Procédés utilisés en version...:
L'EMPRUNT.
Il y a une lacune dans la langue d'arrivée.
Ex: un bungalow, un living, a rendez-vous,...

LA TRADUCTION LITTERALE.
On calque sans aucun changement.

LA TRANSPOSITION.
On traduit par une autre catégorie grammaticale.
Ex: He cried after she left. -> 'after she left' devient 'après son départ'

LA MODULATION.
Il y a une variation sans changement de sens.
Ex: It's not difficult to show. -> 'It's not difficult' devient 'C'est facile'

L’ETOFFEMENT.
On fait un ajout car le calque ne fonctionne ou ne suffit pas.
Ex: He glanced at her. -> Il lui jeta un coup d'oeil.

L’EQUIVALENCE.
On trouve l'expression idiomatique équivalente en français;

L’ADAPTATION.
C'est le degré ultime de la traduction, pouvoir rendre les jeux de mots, les plaisanteries,...

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Ce blog propose d’aborder tous les aspects de la traduction et du métier de traducteur et d’aider et d’informer tous les curieux des problématiques linguistiques.

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