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16 avril 2018 1 16 /04 /avril /2018 11:11

Le traducteur transpose un texte d'une langue à une autre. Il doit à la fois respecter la forme et le fond des textes qui lui sont confiés. Il peut se spécialiser dans la traduction de textes à caractère scientifique et technique ou au contraire ne traduire que des œuvres littéraires. Mais il peut aussi être traducteur expert judiciaire, ce qui le conduit alors à travailler pour les tribunaux.

COMMENT TRAVAILLE-T-IL ?

Quel que soit son secteur d'activité, le traducteur procède toujours de manière identique. Il effectue d'abord une étude approfondie du texte à traduire : étude du vocabulaire utilisé, de la syntaxe, des tournures de phrases, etc. Il effectue alors une première traduction. Il retravaille ensuite cette version pour coller parfaitement au style et au vocabulaire d'origine, tout en se souciant de rendre le texte compréhensible par les futurs lecteurs. Quand la traduction lui semble satisfaisante, il vérifie l'orthographe et la ponctuation avant de livrer son texte final.


OU EXERCE-T-IL ?
Souvent indépendant, le traducteur exerce son activité en solitaire, chez lui ou dans un bureau. Ses relations avec ses clients passent en grande partie par le téléphone et Internet.
Le traducteur est autonome et organise son travail comme il l'entend. Le métier convient parfaitement aux esprits indépendants et à ceux n'appréciant pas de travailler en équipe.
clientèle.

 

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 11:14

Dans le contexte de la mondialisation des affaires, les relations contractuelles prennent toute leur importance, et l’accroissement des accords transnationaux entraîne une réelle imbrication des systèmes juridiques. Le besoin de traduction juridique de valeur ne cesse d’augmenter !

LA TRADUCTION JURIDIQUE EST UN EXERCICE COMPLEXE QUI DOIT ALLIER :

• des connaissances avancées en droit • une maîtrise dans les langues sources et cibles • des qualités rédactionnelles permettant de traduire les nuances du texte source.

Traduire un contrat anglais en français implique de passer du droit anglo-saxon au droit romain, et consiste à faire coïncider les principes des deux systèmes, parfois éloignés. Ainsi, le texte d’arrivée doit être équivalent et non identique, au texte de départ. Ceci est d’autant plus vrai que chaque système possède sa propre terminologie juridique ! Un traducteur juridique ne se contente donc pas de traduire, il effectue des recherches terminologiques et de droit comparé, pour que sa traduction soit en parfaite adéquation avec sa cible. La traduction juridique n’est pas anodine et requiert connaissance, adaptabilité et finesse de traduction. Elle est même souvent bien plus difficile que d’autres types de traductions : les enjeux vont au-delà d’une traduction généraliste !

AVANT DE FAIRE APPEL A UN TRADUCTEUR JURIDIQUE :

Plusieurs points sont à vérifier avant de faire appel à un traducteur :

S’assurer de la confidentialité : L’entreprise de traduction doit s’engager à respecter la confidentialité la plus absolue sur les dossiers qui lui sont confiés. Il est préférable si les documents sont sensibles, de signer un accord de non-divulgation.

Se poser la question de l’assermentation :

Les traductions doivent, dans certains cas, être certifiées conformes à l’original pour être reconnues par l’administration et avoir fait l’objet d’une apostille pour les autorités étrangères.

Seuls les experts traducteurs jurés sont habilités à mettre leur tampon et seul le bureau des apostilles peut délivrer une apostille. L’assermentation d’une traduction représente un coût supplémentaire non négligeable. Il est donc important de s’assurer que l’expert traducteur possède de solides connaissances juridiques, et souhaitables, pour plus de sécurité, que le texte traduit soit relu par un traducteur juriste.

 

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9 avril 2018 1 09 /04 /avril /2018 11:19

La traduction, en tant que transfert culturel, permet à deux civilisations différentes de communiquer. Le traducteur agit donc comme un médiateur entre les usagers de la langue source et ceux de la langue cible. Il ne s’agit alors pas simplement de traduire des mots mais également des concepts, souvent propres à une civilisation possédant sa propre façon de penser. Et ceux-ci peuvent s’avérer très difficiles à traduire. En effet, lors de la traduction de ces derniers, le traducteur doit faire en sorte de préserver l’identité du terme culturel tout en étant conscient de ne pas pouvoir intégrer l’ensemble du concept dans sa spécificité.

 

Quels sont ces mots « à fort contenu culturel » (« culture-bound terms ») qui posent problème lors d’une traduction ?

Les termes « à fort contenu culturel », ou « culture-bound terms » en anglais,  illustrent une culture matérielle différente (architecture, vêtements, plats et boissons, unités de mesure, etc.), un système socio-culturel spécifique (religion, rituels, système économique, administratif, politique, militaire, etc.) et des relations particulières établies  entre les membres d’une communauté. Ces termes sont donc nombreux dans les documents légaux et dans le domaine des sciences humaines.

 

Comment traduire ces mots à fort contenu culturel ?

Lors du processus de traduction, et face à ces termes à fort contenu culturel, le traducteur doit opter pour le procédé le plus adapté pour évoquer une réalité propre à une culture donnée. Il existe quatre manières différentes de traduire des termes culturellement marqués : l’emprunt et la traduction littérale (ou calque) qui sont des procédés directs et la traduction par un équivalent culturel/fonctionnel et la périphrase (ou traduction explicative) qui sont des procédés indirects. Chacun de ces procédés a sa spécificité. Il doit être choisi en fonction du public ciblé par la traduction, du domaine et du style du texte. En effet, si les traducteurs choisissent le plus souvent de conserver le terme dans la langue source en l'expliquant dans le corps du texte ou en note de bas de page, ce procédé peut s'avérer lourd et, par exemple, altérer le style d'un texte littéraire.

 

Le dilemne du traducteur : « traduire ou expliquer ? », telle est la question.

Bien qu'elle ne soit pas le seul problème rencontré par les traducteurs, la traduction des termes à fort contenu culturel illustre parfaitement les dilemmes et exigences du traducteur qui ne peut jamais intégrer la totalité des idées contenues dans un texte source et doit faire des choix afin de préserver l’identité et le sens des termes du texte. Quel que soit son choix, il doit y avoir pleinement réfléchi car en traduisant, il offre la possibilité à deux civilisations de communiquer et de se comprendre et toute erreur peut s'avérer fatale à la compréhension ou entraîner une mauvaise interprétation du texte.

 

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28 mars 2018 3 28 /03 /mars /2018 11:53

Des Minions, en passant par le Seigneur des Anneaux, jusque dans le fameux Game of Thrones, le cinéma, depuis quelques années, excelle dans l'art d'inventer des langues.

Drôles, bizarroïdes, imprononçables, assonances familières, les langues inventées par le cinéma sont multiples. Avec la sortie en salle des Minions, ce mercredi 8 juillet, on retrouvera la langue si particulière des célèbres petites créatures jaunes. Pour « comment ça va ? », ces humanoïdes adeptes de la salopette disent « Como Taki ? ». Le parler « Minion » est d'ailleurs une des armes fatales de ces personnages apparus dans le dessin-animé Moi, moche et méchant. La langue des Minions se compose d'onomatopées et de sons venus du français, de l'anglais, de l'espagnol et de l'italien, avec un zeste de japonais et d'indonésien. Un drôle de mélange développé par leur créateur Pierre Coffin.

L'invention des langues pour et par le cinéma est devenue une création à part entière. Ainsi, en 2013, le Centre Pompidou exposait, lors du Nouveau Festival, des langues inventées pour le 7ème art. A Hollywood, créer des langues est désormais un métier, le « Conlanger ». Des spécialistes inventent ainsi de nouveaux dialectes avec une structure logique pour le compte des blockbusters de science-fiction comme Avatar ou John Carter. L'un des exemples les plus récents est le Dothraki: la langue du peuple de cavaliers nomades inventés par George R. R. Martin dans Game of Thrones.

Pour cette série comme pour l'adaptation du Seigneur des Anneaux, les langues n'ont pas été élaborées par les réalisateurs eux-mêmes, mais simplement retranscrites des romans dont les films sont tirés. J.R.R Tolkien a ainsi créé dix langues et autant d'alphabets pour élaborer l'univers de la Terre du Milieu.

Bernard Blistène, un des organisateurs du festival témoigne : « les langues inventées ont trouvé avec le cinéma un medium et un terrain de développement privilégiés ». « Le film permet d’enregistrer ces langues (...) »conclut-il.

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 12:36

Par traduction littéraire, on entend celle de textes de fiction (romans, nouvelles, récits), de poésie, de théâtre, d’essais ou encore de sciences humaines (philosophie, psychologie, psychanalyse, sociologie, musicologie, histoire, anthropologie, sciences sociales, art en général, etc.).

Les débouchés sont donc plus vastes qu'on pourrait le croire de prime abord.

Il existe un réel marché et une demande de bons traducteurs, car les traductions de ce type sont encore trop souvent confiées par les éditeurs à des amateurs non soumis à un contrôle préalable des compétences en la matière. La traduction littéraire est un métier en soi qui requiert une formation ciblée et pointue, même si quelques excellents traducteurs professionnels ont pu et peuvent encore se former seuls et sur le tas.

 

SOURCE : http://www.cbti-bkvt.org/…/practical-i…/literary-translation

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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 10:44

Cette expression est souvent traduite par les français par « I am agree ». Le calque est souvent très tentant lorsque l'on traduit. Malheureusement, ce procédé est rarement le plus adapté et le verbe « agree » en est le parfait exemple.

 

En anglais, « agree » est un verbe et non une locution verbale comme être d'accord en français. Par conséquent, le verbe « agree » se suffit à lui-même, qu'il soit accompagné d'un complément ou non. 

 

« Je suis d'accord » se dit donc « I agree ».

 

Le verbe « agree » fonctionne comme tous les verbes de la langue anglaise, aux formes négative et interrogative, l'auxiliaire « do » prend la marque correspondante. 

 

Par exemple : 

Je ne suis pas d’accord. / I don’t (ou do not) agree.

Es-tu d’accord? / Do you agree?

 

Quelques remarques :

 

- A la forme négative, on peut utiliser le verbe « disagree », qui fonctionne de la même façon que le verbe « agree », mais son utilisation est moins courante que la forme « do not + agree ».

 

- Un peu de ressemblance avec le français : « Je suis d'accord avec toi sur ce point. » se traduit par « I agree with you on this point. ».

 

- « Je suis totalement d'accord avec vous. » peut être traduit de différentes manières : « I totally agree with you », qui est la version la plus littérale ou « I couldn't agree more » (littéralement, « je ne pourrais pas être plus d'accord. »).

 

Une fois encore, la meilleure solution est de s'entraîner régulièrement à l'utilisation de ce verbe, afin de s'habituer à ses spécificités. 

 

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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 11:00

Répondre au téléphone en anglais vous tétanise ?

 

Accueillir ou orienter des anglophones vous paralyse ?

 

Voici 7 conseils pour vous en sortir avec les honneurs :

 

1 - Allez à l'essentiel !

 

N'essayez pas de faire de belles phrases avec des expressions idiomatiques que vous ne maitrisez pas.

 

Faites des phrases courtes et simples et n'oubliez pas que les anglophones sont généralement plus tolérants que les francophones quant aux fautes.

 

2 - N’essayez pas de prendre un accent "british".

 

Assumez totalement votre accent naturel et articulez bien tous les mots.

 

 

3 - Dites tout de suite à votre interlocuteur que vous ne parlez pas bien anglais et que vous souhaiteriez qu’il parle lentement.

 

I am sorry but I don’t understand English very well. Would you please speak slower?

 

4 - N’hésitez pas à faire répéter

 

Would you please repeat? I did not understand what you just said.

 

5 - Faites épeler les mots/nom/adresse mail etc.

 

Could you spell that please?

 

6 - Vous ne comprenez vraiment rien et vous êtes perdu ? Donnez votre adresse mail pour que la personne vous envoie un mail.

 

I think it will be easier if you explained everything in an email. Can you write down my address?

 

7 - Attention aux pièges dans l’alphabet anglo-saxon. Révisez bien votre phonétique.

 

E se prononce « i »

G se prononce j

J se prononce G

U se prononce « You » etc.

 

Et si vous voulez aller plus loin, formez-vous !

 

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16 mars 2018 5 16 /03 /mars /2018 10:26

À l’occasion de la Foire du livre de Francfort, le 14 octobre dernier, l’institut d’étude et d’information des médias Nielsen a présenté une étude inédite sur le marché du livre indien. Commandée par l’Association des Editeurs en Inde (API) et la Fédération des Editeurs Indiens (FIP), l’enquête annonce d’emblée un marché du livre imprimé qui pèserait 3,9 milliards $.

 

Selon The Bookseller, ce volume positionnerait le pays parmi les plus grands marchés du livre de langue anglaise dans le monde. En effet, l’étude annonce que 55 % des ventes de livres dans le pays s'opèrent dans la langue de Shakepeare quand les livres en hindi représentent quant à eux 35 %. Les deux tiers seraient par ailleurs des livres scolaires. Le secteur pédagogique connaît une croissance particulièrement importante, et des succès retentissants en format numérique.

 

Un résultat qui n’étonne guère lorsque l'on sait que l’institut annonce un marché du livre éducatif en Inde qui est passé de 63 milliards de roupies (956 millions de $) en 2007/2008 à 186 milliards de roupies pour 2013/2014. Les ventes de livres d’enseignement supérieur ont elles aussi augmenté durant cette période de 16 milliards de roupies (242 millions $) à 56 milliards (849 millions $).

 

Globalement, le marché du livre enregistrerait un taux de croissance de 20,4 % entre 2011 et 2012 ainsi qu’entre 2014 et 2015, annonce le rapport. De pair avec une augmentation du taux d’alphabétisation qui devrait atteindre 90 % en 2020. Un objectif pour lequel le gouvernement indien met tout en œuvre : des moyens pour l’éducation, les initiatives numériques, et l’externalisation des services d’édition en Inde ont été mis en place. Autant d'opérations qui sont identifiées comme les points forts de l’industrie indienne, note Nielsen.

 

Assez logiquement, les importations de livres ont donc augmenté à un taux de croissance annuelle composé (TCAC) de 19 % par an depuis 2010, tandis que les exportations ont décollé elles aussi, à 10 %.

 

Les livres représentent 15% du e-commerce en Inde

 

L’Inde compterait alors plus de 9000 éditeurs, contrairement aux 19 000 annoncés par les organismes de l’industrie souligne The Bookseller. « Ce chiffre reflète les éditeurs actifs, basés sur le nombre de numéros ISBN émis par l’Agence ISBN dans les 3-4 dernières années », a expliqué Vikrant Mathur, Directeur, Nielsen Book Inde. « Cependant un grand nombre d’éditeurs, en particulier dans les langues indiennes, n’utilisent pas un numéro ISBN, ce nombre est donc peut-être plus représentatif des éditeurs de langue anglaise en Inde », a précisé Shesh Seshadri, Directeur, Lonely Planet Inde, qui a étroitement participé dans l’élaboration du rapport.

 

Du côté des détaillants, on en compterait 21 000 dans le pays avec une majorité de librairies spécialisées dans l’édition scolaire. Nielson a ensuite identifié environ 1 800 points de vente commerciaux. Tout en soulignant que les livres sont aussi vendus dans des foires et à travers les clubs de livres, ainsi qu’en ligne.

 

En tout, les ouvrages représentent moins de 1 % du marché total de la vente au détail en Inde. Néanmoins, ils représenteraient plus de 15 % du e-commerce dans le pays. Seul petit bémol soulevé par le rapport : le livre numérique peinerait à décoller en Inde.

 

En plus de se présenter comme « un outil précieux pour les professionnels de l’édition dans le monde », le rapport se définit comme l’un des plus complets sur le marché indien. « Nous sommes extrêmement heureux d’avoir lancé le rapport ; il est vraiment inédit à plusieurs égards pour ce florissant marché du livre d’impression de l’Inde », a déclaré Prashant Singh, directeur général de Nielsen Inde.

 

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9 mars 2018 5 09 /03 /mars /2018 12:48

L’un des critères principaux qui détermine le choix d'un traducteur est sans nul doute le coût. Le premier mouvement est bien sûr de s’adresser dans la majorité des cas aux prestataires les moins chers. La plupart des agences de traduction facturant au mot, la comparaison semble facile. Mais d’abord, posons-nous les questions fondamentales. Quelle est la différence entre une agence de traduction et un traducteur indépendant ? L’agence de traduction :

  • gère plus de langues puisqu’elle travaille avec de nombreux freelances à travers le monde.
  • peut être plus réactive car elle dispose de plusieurs intervenants dans une même combinaison linguistique. Il est donc extrêmement rare qu’une agence décline un projet par défaut d’effectif.
  • s’appuyant sur sa base de données, elle peut monter des équipes de traducteurs pour réduire les délais sur les gros projets urgents.
  • toutes les traductions qui lui sont confiées sont relues par un linguiste distinct
  • elle recherche le/les traducteur(s) adéquat(s) en fonction du domaine de vos documents (financier, informatique, juridique, médical, technique etc.)
  • traduit un nombre limité de combinaisons linguistiques
  • travaillant seul, sa capacité de travail est limitée à sa vitesse de traduction
  • ne peut se relire lui-même
  • Notons que certains traducteurs forment des collectifs ou des groupes afin de se relire les uns les autres et gérer ensemble des projets importants. Cependant, un traducteur ne peut pas être à la fois traducteur et chef d’un même projet, l’une des fonctions pouvant être exercée au détriment de l’autre.
  • Les traducteurs indépendants ont des domaines de spécialisation et ne peuvent pas traduire dans tous les domaines
  • La combinaison linguistique
  • Le domaine
  • Le délai
  • Le volume
  • qu’on vous l’ait recommandé
  • que cela entre dans son domaine de spécialisation
  • qu’il traduise vers sa langue maternelle
  • que vous fassiez vous-mêmes appel à un relecteur

 

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5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 10:44

Google a corrigé un « bug » qui transformait, dans la traduction en ukrainien de son outil Google traduction, « Fédération de Russie » en « Mordor » – le pays contrôlé, dans Le Seigneur des anneaux, par le diabolique Sauron. De même, le service a brièvement proposé comme traduction « occupants » pour « Russes » et transformé le nom du ministre des affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, en « triste petit cheval ».

Ce n’est pas la première fois que le service de traduction automatique de Google, qui s’appuie principalement sur l’indexation de millions de pages Web traduites, sert de support à des plaisanteries de ce type. En 2012, Ségolène Royal avait ainsi été victime d’une blague sexiste dans l’outil de traduction de l’anglais vers le français.

La méthode employée est généralement la même : saturer le service d’un grand nombre de « suggestions de traductions » pour inciter le service à remplacer des mots par d’autres. Google traduction propose en effet aux utilisateurs de l’aider à améliorer ses traductions en proposant des expressions plus adaptées lorsqu’ils rencontrent une traduction erronée.

 

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Présentation

Ce blog propose d’aborder tous les aspects de la traduction et du métier de traducteur et d’aider et d’informer tous les curieux des problématiques linguistiques.

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